6 mai 2010
100 ans
Un siècle est passé
Depuis que tu es née
Cent bougies qu’on devait souffler
En ce jour si particulier
Un siècle est passé
Chagrins et bonheurs
De l’un à l’autre basculait ton cœur
Emotions, rires et pleurs
Cent années qu’aujourd’hui on devait fêter
Un siècle est passé
Hier encore tu étais là
Assise sur ton fauteuil juste devant moi
Actrice folle de tes jeunes années
Devenue sage et expérimentée
Tu racontais si bien ton bonheur
Cachant à tous les peurs de ton cœur
Plus de six mois sont passés
Chère arrière-grand-mère aimée
Aujourd’hui encore coulent les larmes
Entremêlées de souvenirs pleins de charmes
Tu n’es plus là pour souffler tes bougies
Mais dans mon cœur brûle la flamme
Fière d’être de ton sang et de ton âme
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